Arrivé à peine avant 13h00 ce lundi 08 octobre, je sors de la voiture et hop, le fameux « coup de canon de 1:00PM ». C’est en l'honneur d’une Reine mais je ne sais plus trop, j’ai mémoire de « 20 coups » et puis « un mercredi »… il faut que je creuse.

Aussitôt, je file au Consulat général de France (Randolph Crescent) qui me couvrira en cas de coup dur (perte de papiers tremblement de terre, évacuation du pays, laisser passer…). On s’y sent chez soit, on est accueilli en français (sauf le garde à l’entrée) et il y même le portrait de notre Président. Je prends les papiers nécessaires et l’affaire suit son cours.
Me voilà désormais officiellement client (« current account ») de la plus grosse banque d’Ecosse, la RBS (Royal Bank of Scotland) et j’ai même eu le droit à des bonbons. C’est aussi à l’école que j’ai eu mon premier contact avec une charmante écossaise mais avec qui j’ai eu quelques soucis de compréhension, j’ai compris pendant un quart d’heure que j’aurai une « double card » sauf qu’il fallait comprendre « debit card ».
"Make It Happen!" http://fr.youtube.com/watch?v=GAIrM15ovU8


Cette sortie est aussi l’occasion d’acquérir un téléphone portable chez Carphone Warehouse (0 794 259 5069), avec une carte prépayée « International & UK ». Je suis actuellement sur « Princes Street », la plus grosse avenue de la ville.


J’ai aussi tenté de faire un double de clé de ma chambre mais je ne peux pas, elle est sécurisée. Il y’a un "groom" à ma porte et un de ces jours elle va rester à l’intérieur quand j’irai dans la cuisine.
Je continue sur Queen Street où il y a la « Scottish National Portrait Gallery », musée également qui expose en ce moment sur les « pères de l’ingénierie moderne ».
Les flics sont terribles ici, autant ils peuvent être sympa pour discuter mais il attendait quand même à deux pas des bagnoles pour voir si les délais de stationnement sont dépassés.
Cette ville me plaît, je vibre, elle n’est pas trop grosse et la campagne n’est pas si loin. C’est drôle car l’espagnol que j’ai appris au printemps me revient parfois spontanément tout comme l’anglais me venait en Argentine. Drôle de mécanisme que sont les langues.
Avant de partir, je vais traîner mes lattes dans le Royal Mile (vieux cartier), près du château et des petits commerçants.

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